Face à une Haïti submergée par l’insécurité, la corruption et les crises humanitaires, Fanmi Lavalas, l’un des partis politiques les plus influents du pays, dénonce dans une note officielle l’échec du Conseil présidentiel de transition (CPT) et du gouvernement d’Alix Didier Fils Aimé. Pourtant, cette dénonciation met en lumière un paradoxe troublant : Fanmi Lavalas critique une structure dirigée par l’un de ses propres représentants, Leslie Voltaire, président du CPT.