Jusque-là, elle ne laissait rien paraître. Pendant les deux premiers jours d’audience de la cour d’assises de Saône-et-Loire devant laquelle elle comparaît pour l’assassinat de son mari, Valérie Bacot est restée immobile. Assise, tête baissée, épaules rentrées, mains jointes sur les cuisses. Elle