En mai 2019, Philippe B., vétérinaire dans la région d’Angers, avait aidé Pascal G., un proche atteint de la maladie de Charcot, à se suicider. Ce dernier, qui souhaitait pouvoir se donner la mort avant d’être trop abîmé par cette pathologie neurodégénérative incurable, lui avait demandé de lui